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Programmation neuro-linguistique


- Définition
- PNL et communication efficace
- L'individu et sa représentation du monde
- Calibrer les états internes
- Identifier les filtres de perception
- Les submodalités
- Modélisation du réel
- Articles externes
- Bibliographie



Sessions complètes à Caen 
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Gérer le stress -prendre la prole en public - Déterminer et atteindre ses objectifs - Déveloper son charisme
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Par J. Boutillier
Thérapeute et coach
Enseignant à l'Institut Normand de Coaching et de thérapies brèves




Définition

Programmation neuro-linguistique » ? Quel nom bizarre ! Effectivement, la légende dit que Richard Bandler, co-fondateur de la PNL avec J. Grindler, a crée ce terme pour impressionner des forces de l’ordre qui s’inquiétaient de son activité professionnelle. De la même manière ce terme aurait été gardé, ajouté à une kyrielle d’autres termes alambiqués pour impressionner des éditeurs frileux. Au-delà de cette terminologie difficile, la PNL propose une "boite à outil du communicateur" aussi pertinente qu'efficace.

w Programmation : tout au long de notre vie, nous programmons des façons d’être, de penser, de se comporter en fonction de ce nous vivons (expériences), rencontrons (modèles). Chaque action peut être présentée comme un programme (de réussite, d’échec etc…). Ainsi, face à une situation identique, plusieurs personnes vont mettre en place des programmes différents, car personnels. Tout programme peut être décodé pour être ensuite rendu plus performant ou adapté au bien-être, par exemple.
 

w Neuro : cette capacité à mettre en place des programmes personnels repose sur nos capacités neurologiques. Cerveau, système nerveux, sens nous permettent d’appréhender le monde extérieur, de percevoir, stocker et organiser l’information à notre manière et de mettre en place telle ou telle réponse en fonction ce qui se passe autour de nous, ce qu’on appelle fonction associative (association stimulus-réponse).
 

w Linguistique : langage verbal et non-verbal consituent le révélateur essentiel de ces fonctionnements internes. Tout est communication, et produit les informations qui reflètent cette manière personnelle de se représenter et d’appréhender le monde.

Ainsi, chacun construit sa carte de la réalité (schémas de pensée, croyances et états internes, stratégies mentales, système de perception…). Elle détermine le sens attribué au vécu, ainsi que le panel de choix et solutions possibles (comportements). Cette notion de carte est issue de la sémantique générale et d’Alfred Korzybsky son fondateur qui écrit (Aspect of theory of syntax, 1965) :

« La carte n’est pas le territoire qu’elle représente »

La PNL apporte les outils permettant donc de préciser la « carte de la réalité » que l’individu a mise en place et de le rencontrer sur ce territoire personnel.

Une fois identifiés la représentation du monde et les modes de fonctionnement du sujet, on peut installer la relation dans ce monde personnel pour développer une communication épanouie et harmonieuse. On pourra ensuite faire évoluer cette carte personnelle, à des degrés divers et en fonction de l’objectif d’intervention (convaincre, coacher, améliorer le bien-être, changer de fonctionnement…).





PNL et communication efficace 
La PNL s'intéresse aux processus, concrets et opérationnels. Elle permettra entre autres la précision et la pertinence en communication :

w Avoir une stratégie d'objectif : déterminer un objectif et s'orienter vers celui-ci.

w Etre "en tri sur l'autre" : observer l'interlocuteur, l'écouter, s'adapter à lui.

w Créer et entretenir le rapport : installer le cadre et l'espace de la relation, être acteur de la communication.

w S'adapter : privilégier le retour d'information et le traiter en s'adaptant.

w Etre cohérent et pertinent : être en accord avec ses états internes et utiliser un langage de précision.




L'individu et sa représentation du monde


Comme décrit dans ls paragraphes précédents, un changement se traduit par une évolution de la représentation du monde du sujet à travers ses différents filtres personnels. La relation pour être efficiente, doit donc s’installer et évoluer dans cette carte de la réalité personnelle de l’individu. Les solutions mises en place seront alors des solutions personnelles et adaptées à son équilibre.
 
Une des compétences du thérapeute ou du coach sera donc de savoir identifier ce monde personnel, cette carte du réel pour ensuite la faire évoluer en y plaçant les interventions. Différents éléments en thérapie brève aident à cartographier cet univers intérieur d’un individu.
 


Calibrer les états internes


Calibrer, c’est observer de manière précise et approfondie les réactions conscientes et inconscientes produites par le client alors qu’il est en train de vivre un état interne particulier, pour ensuite garder en mémoire cette association (état interne-réactions conscientes et inconscientes).



 


Identifier les filtres de perception

 
Le premier filtre mis en place par l’individu entre lui et la réalité est construit par les sens. Le bébé appréhendra la réalité en fonction de critères sensoriels : chaud/froid, agréable/désagréable. La première étape avant conceptualisation est sensorielle. Nos sens sont constamment mis à contribution. Tout individu connaît cette stimulation sensorielle. C’est l’organisation et le tri des informations qui est personnel à chaque personne : la représentation sensorielle de la réalité. Viendront ensuite conceptualisation, choix, émotions, comportements…
 
1. Canaux sensoriels
 
La réalité « café » sera ressentie de diverses manières : pour un individu, la couleur noire du café, pour un autre la chaleur de la tasse sous les doigts ou le goût du liquide dans la bouche, pour un autre encore le bruit de la cafetière et enfin pour un dernier l’odeur du café.
 
Chacun perçoit la réalité selon un canal sensoriel privilégié. Ses canaux ici seront simplifiés en visuels, auditifs et kinesthésiques. Le canal kinesthésique comprendra dans cet ouvrage les sens du toucher du goût et de l’odorat mais aussi ce qui est lié aux sensations internes, au mouvement et à l’espace.
 
Chacun possède un système de représentation sensoriel dominant, mais cela n’implique pas pour autant que d’autres systèmes n’entreront pas en jeu à un moment ou à un autre.
 
On relève environ dans la population 50% de personnes à dominante visuelle, 30% à dominante auditive, 20% à dominante kinesthésique.
 
 
2. Test de perception sensorielle
 
Laissons-nous aller à un petit test :
 
Répondez de façon spontanée aux questions suivantes en encerclant la lettre correspondante et voyez le résultat dans le corrigé.
 
Source : ID Com International Inc.
 
1. Vous êtes en congé et il pleut :
A- Pour vous, la journée est «perdue»
B- Vous surveillez l'apparition de l'arc-en-ciel
C- Vous aimez l'odeur de l'air et des feuilles mouillées
D- Vous écoutez le bruit de l'eau sur le toit
 
2. Dans un grand magasin, vous êtes agacé par :
A- Les annonces et promotions que l'on fait au micro
B- Le changement de rayon des produits que vous achetez
C- L'absence de vendeur ou de conseillère pour vous guider
D- L'augmentation des prix.
 
3. A la station libre-service :
A- Vous vous fiez au son du dispositif d'arrêt de la pompe;
B- Vous surveillez au cadran la quantité et le prix;
C- Vous profitez de cette pause pour prendre une bouffée d'air;
D- Vous calculez votre consommation depuis le dernier plein.
 
4. En voiture, lorsque vous ne conduisez pas :
A- Vous écoutez la radio;
B- Vous en profitez pour regarder le paysage;
C- Vous êtes relaxe et détendu;
D- Vous avez tendance à conduire à la place du chauffeur.
 
5. Un chien ou un chat réclame vos caresses :
A- Vous ne comprenez pas trop ce qu'il vous veut;
B- Vous le prenez dans vos bras sans aucune gêne;
C- Vous caressez doucement sa fourrure;
D- Vous n'aimez pas trop ce contact.
 
6. Dans une foire, un cirque ou une exposition :
A- Le bruit des machines et des gens vous agresse;
B- La diversité et les couleurs des étalages vous charme;
C- Vous vous mélangez à la foule qui se presse à un kiosque;
D- Vous vous rappelez d'autres événements semblables.
 
7. Dans une salle de danse ou de spectacle :
A- Vous trouvez la musique trop bruyante;
B- Vous observez surtout les effets de l'éclairage;
C- Vous sentez toute de suite s'il y a ou non de l'ambiance;
D- Vous avez pris soin de réserver une table, bien sûr...
 
8. Au restaurant, vous appréciez tout d'abord :
A- L'ambiance créée par la musique;
B- La décoration de la salle à manger;
C- Le confort des chaises;
D- La variété et l'abondance du menu.
 
9. A votre réveil, vous remarquez :
A- La sonnerie de votre réveille-matin;
B- La lumière du jour à travers la fenêtre;
C- Qu'il vous faut quitter la chaleur de votre lit;
D- Vous anticipez ce que vous avez à faire aujourd'hui.
 
10. Dans le métro, le train, l'avion ou l'autobus :
A- Vous écoutez les conversations des gens;
B- Vous observez les autres passagers;
C- Vous trouvez qu'il fait chaud ou froid;
D- Vous êtes plongé dans vos pensées.
 
11. A l'intérieur d'une église, vous êtes frappé :
A- Par la qualité du silence;
B- Par la pénombre et la lueur des cierges et des vitraux;
C- Par l'odeur de la cire ou de l'encens;
D- Par rien de précis.
 
12. Vos voisins reviennent de voyage :
A- Vous pensez au bruit, qui va recommencer;
B- Vous trouvez qu'ils ont l'air reposé;
C- Vous êtes bien content pour eux;
D- Vous songez à vos prochaines vacances.
 
13. Sur la plage, votre attention est captée par :
A- Le bruissement des vagues et les cris des oiseaux;
B- La beauté du paysage et de l'environnement;
C- L'odeur de l'air et des embruns;
D- Vous analysez l'heure et l'à-propos de votre promenade.
 
14. Dans votre bain ou votre douche :
A- En paix, vous y chantez ou écoutez de la musique;
B- Vous rêvassez doucement;
C- Vous aimez la douceur de l'eau chaude sur votre peau;
D- Vous savez exactement pourquoi cela vous détend.
 
15. Vous achetez un vêtement :
A- Parce que sa valeur et son prix vous satisfont;
B- Parce que vous voyez qu'il vous va bien dans la glace;
C- Parce que c'est le plus doux et le plus confortable;
D- Parce qu'il vous paraît éminemment pratique.

 
Additionner :  un point à chaque A, deux à chaque B, trois à chaque C et quatre points à chaque D. 
 
Résultat :
- Moins de 20 points vous êtes auditif. 
- Entre 21 et 35 points: vous êtes visuel. 
- Entre 36 et 45 points vous êtes kinesthésique. 
- Plus de 45 points: vous vous fiez à votre «dialogue intérieur».  Il est possible aussi que vous soyez un auditif ou un visuel qui a développé son côté complémentaire et... qui a tendance à rationaliser.
 

 
3. Identifier le canal dominant de l’autre
 
Différentes informations permettent de déterminer quel canal sensoriel le sujet utilise de manière préférentielle :
 
w Signes non-verbaux : les indices non-verbaux sont nombreux : bien que ces éléments soient schématiques, ils participent à identifier la dominante sensorielle.

Visuel
Auditif
Kinesthésique

Posture raide

Voix rapide et haut perchée

Respiration haute, thoracique et rapide

Distance conversationnelle longue

 

Posture confortable

Voix posée et agréable

Respiration moyenne et équilibrée

Distance conversationnelle intermédiaire

Posture décontractée

Voix lente et grave

Respiration abdominale et lente

Distance conversationnelle courte



w
Accès visuels : lorsque nous allons « chercher » l’information, l’activité cérébrale provoque des mouvements oculaires involontaires. Selon que cette information sera visuelle, auditive ou kinesthésique, les mouvements des yeux seront différents.


Visuel

Auditif

Kinesthésique

Dialogue interne

Yeux en haut, à droite et à gauche ou tout droit

Yeux sur les côtés, au milieu

Yeux vers le bas, spécialement à gauche

Yeux vers le bas, à droite


w Prédicats : lorsque nous nous exprimons, nous sélectionnons inconsciemment un vocabulaire correspondant à notre canal dominant. Ainsi pour dire qu’il est d’accord avec une proposition, un visuel va dire : « je vois ce que tu veux dire », un auditif « J’entends bien », un kinesthésique : « Je sens bien cette solution ».  L’examen des prédicats utilisés est donc un bon outil pour déterminer le canal dominant d’un sujet. 

 
Voici quelques exemples de prédicats visuels, auditifs et kinesthésiques :

Visuel

Auditif

Kinesthésique

Je vois

C’est clair

J’imagine que…

Visiblement

Objectif

Montrer

C’est net

C’est flou

Blanc de peur

Vert de rage

J’entends

D’accord

Ca me parle

Dire

Bien entendu

Je m’entends très bien avec…

N’écoutant que…

Ca ne me dit rien

C’est inouï

Je sens

Bien dans ma peau

Choc

Le bon sens

Ca prend corps

Les pieds sur terre

Contact

Ca me touche

Ca me dégoûte



Pour obtenir des informations sur le canal dominant, il suffit de poser quelques questions et d’observer les prédicats utilisés dans la formulation de la réponse.
 
Comment sais-tu cela ?
Un visuel répondra : « Je vois bien que… »
Un auditif répondra « Ca me parle. »
Un kinesthésique « Je l’ai tout de suite senti… »
 

 
4. Les accès oculaires
 
Les accès oculaires et leur observation permettent d’identifier quel type de représentation interne met en place une personne pour traiter l’information (lorsqu’elle se souvient, réfléchit ou s’exprime). L’observation des yeux permet d’avoir des indications en temps réel sur la structure de la représentation, sur ses composants.
 
Les accès à gauche correspondent à la recherche de souvenirs (visuels ou auditifs) ou de sensations kinesthésiques. Par exemple, les mouvements oculaires qui accompagnent la réflexion qui suit cette question : « Où se sont passées vos dernières vacances ? » (recherche de souvenirs visuels ou auditif pour réaccéder à l’expérience et pouvoir donner une réponse).
 
Les accès à droite correspondent à la fabrication d’une représentation visuelle ou auditive ou au dialogue intérieur (la personne entre en conversation avec elle-même). Par exemple, les mouvements oculaires qui accompagnent la réflexion qui suit cette question : « Comment imaginez-vous vos prochaines vacances ? » (fabrication d’une représentation future pour pouvoir répondre à la question).  

L’intérêt des mouvements oculaires est d’être immédiat et inconscient. Il permet d’accéder au processus interne qui relie à l’expérience et d’en préciser le déroulement, qui n’est connu consciemment que de manière parcellaire.


 
Par exemple :
« - Je l’ai vu en face de moi (yeux en haut à droite) et… je ne sais plus… (yeux en bas à droite qui donne une indication de dialogue intérieur)
-  Que vous êtes-vous dit ? »
 
 
5. Filtres généraux
 
Nous filtrons donc la réalité, cela plutôt trois fois qu’une. Ces filtres généraux et leur utilisation par le sujet déterminent également des particularismes individuels.
 
w Filtre neurologique : notre perception de l’extérieur dépend de notre cerveau, de notre système nerveux, de la perception par les sens…
 
w Filtre culturel, social : nous apprécions la réalité selon les critères du groupe auquel nous appartenons.
 
w Filtre personnel : chaque individu est unique, aura donc une conceptualisation du réel personnelle en fonction de ses différentes expériences (éducation, influence familiale, sociale, événements de vie…).
 



Les submodalités


Nous encodons tous le réel en utilisant les canaux de perception décrits plus haut. Les submodalités représentent les détails de cet encodage (comment nos 5 sens ont archivé, stocké une expérience).
 
1. Première submodalité : Associé / Dissocié
 
Cette submodalité est prépondérante. Si on est acteur d’un souvenir, on le vit de l’intérieur, sans recul : on voit, on entend, mais aussi on ressent à chaque rappel. Si on est spectateur, on se représente dans la situation, on peut établir un recul : on voit, on entend, mais on ne ressent pas. Ceci est important : quand on est dissocié, on ne ressent pas (kinesthésique : sensations corporelles…)
 
D’un point de vue général, l’intérêt sera d’être :
- Associé au positif
- Dissocié du négatif
 
 
2. Quelques exemples de submodalités
 
Les submodalités sont infinies.
 
w Canal visuel :
Associé/dissocié  - stable/flottant  net/brouillé lumineux/sombre - focalisation/écran large -  image immobile/image en mouvement -  grand/petit – proche/lointain – en trois dimensions/en deux dimensions
 
w Canal auditif :
Volume sonore -  distribution droite/gauche du son – bruits de fond ou non – paroles ou non – sons graves/aigus – sons proches/sons lointains
 
w Canal kinesthésique :
Lourd/léger - Chaud/froid - doux/dur – stable/vacillant – consistant/vide - corporalité ressentie, endroits du corps…
 
« On ressent ce que l’on pense ». Il est donc intéressant de se pencher sur l’encodage du réel vécu, sur les représentations mentales construites… Car agir sur ces représentations, c’est agir sur le ressenti du réel, de l’ici et maintenant : développer le positif, neutraliser ou minorer le négatif, transformer différents états internes…




Modélisation du réel (ou modelage universel)

Pour construire notre carte de la réalité, notre modèle du monde, nous sélectionnons des informations. Ce processus de tri nous est propre. Il est sensé nous simplifier la vie, nous permet d’appréhender la complexité de manière supportable. On peut penser la réalité comme une boule de pâte à modeler vierge que chacun façonne à sa manière. Selon les cas et les personnes, l’information va subir différents traitements. Nous en retiendrons trois, essentiels :

w Généralisation : il s’agit d’établir une règle générale à partir d’un ou plusieurs événements particuliers. Ce processus est éminemment utile car à la base de nombreux apprentissages : quand on sait ouvrir une porte, on peut généraliser la compétence à toutes les portes et ainsi se simplifier la vie. Pour donner un autre exemple, l’enfant qui approche de trop prêt un feu de cheminée va lui aussi établir une généralisation utile qui pourra lui resservir : « le feu, ça brûle et c’est dangereux ». La généralisation est un raccourci qui permet de soulager les processus mentaux en élaborant des règles internes de fonctionnement, ce que nous nommerons croyances (cf p.). Notre modèle du monde est ainsi construit à base de nombreuses généralisations successives. A contrario par exemple, le salarié pressé comme un citron par son patron peut en venir rapidement au point de vue « tous les patrons sont des exploiteurs ». Il généralise et s’enferme dans une représentation du monde de l’entreprise limitante. On le voit, la généralisation est un processus de traitement de l’information. Comme tout processus, il n’est ni bon ni mauvais. Tout dépend du contexte et de l’utilisation qui en est faite.

w La distorsion : elle consiste à déformer de manière significative la réalité vécue. L’intuition constitue par exemple en un processus de distorsion. Sans preuve tangible, on en arrive à une conclusion aléatoire. Cela peut donner des conclusions brillantes mais aussi problématiques. Par exemple, le jeune homme qui pense au sujet de sa dulcinée : « elle me prend pour un con », sorte de lecture de pensée.

w L’omission : il s’agit du fait de sélectionner et donc de laisser de côté de nombreuses informations informations. Comme nous l’avons vu, nous baignons dans un flot d’informations. Nous mettons nécessairement en place un tri sélectif.












Bibliographie
Bibliographie idéale sur :
:

                                                                 

Un cerveau pour changer / R. Bandler /  Interéditions 1990
Les secrets de la communication / Bandler /  Le Jour 1982
Le recadrage - Transformer la perception de la réalité avec la PNL /  Bandler et Grinder / Interéditions 1982
Transe-Formations - Programmation neuro-linguistique et tehniques d’hypnose ericksonienne / Bandler et Grinder / Interéditions
Le temps du changement / R. Bandler / La tempérance 
Peurs, phobies et compulsions / R. Bandler / La tempérance 
Apprendre à apprendre avec la PNL / A. Thiry et Y.  Lellouche / De Boeck Université
Comprendre la PNL / / C. Cudicio / Ed. d'Organisation
Derrière la magie / A. Cayrol  et J.de Saint-Paul / InterÉditions
Croyances et santé / R. Dilts / La méridienne
Maitriser l'art de la PNL / C. Cudicio / Editions d'organisation

En cours de rédaction


J. Boutillier
Thérapeute et coach
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© Copyright 1996-2009- J.Boutillier - Tous droits réservés.

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