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Par J. Boutillier,
thérapeute
et coach «
Le client construit sa propre solution en se basant sur ses propres
ressources
et ses propres succes »
De Shazer
A l’image de la psychanalyse, la démarche thérapeutique s’inscrivait encore il y a quelques dizaines d’années dans le passé. Le comportementalisme ou la systémique se sont penchés à partir des années 60 sur le présent, l’ "ici et maintenant". La thérapie évolue encore actuellement vers le futur : la question essentielle devient « Comment être bien demain » ? L’influence de M.H. Erickson dans ce domaine est prépondérante : dès les années 60, il suggérait à ses patients d’essayer d’autres stratégies sans s’arrêter nécessairement à analyser la structure ou la construction du problème présent. Il était en cela le précurseur de la thérapie orientée solutions exposée sur cette page. Orientation solutions Inspirée des travaux sur la communication de Bateson ou Weakland, de l’approche psychothérapeutique de Milotn Erickson, l’approche orientée solutions est une approche inductive qui s’oriente vers ce qui est utile est générateur de solutions. En d’autres termes, alors que traditionnellement, une démarche de changement se penche sur les problèmes à résoudre, cette approche se centrer sur les solutions à mettre en place : plutôt que « Pourquoi est-ce que ça va mal ? », le questionnement va être : comment faire pour aller mieux ? »
Perspective des points forts Saleebey expose avec pertinence le pouvoir donné au client dans ce qu’il nomme la Perspective des points forts : 1. En dépit des difficultés de la vie, toute personne possède des points forts qui peuvent être mobilisés pour améliorer sa vie. Les praticiens doivnt respecter ces points forts et les directions dans lesquelles les clients souhaitent les appliquer. 2. La motivation du client s’accroît si l’accent est mis en permanence sur les points forts qu’il a révélés. 3. La découverte de ces points forts requiert un processus d’exploration conjointe entre clients et professionnels ; même un praticien expert ne sait pas, en fin de compte, ce que les clients ont besoin d’améliorer dans leurs vies. 4. Se centrer sur les points forts détourne les praticiens de la tentation de juger ou de blâmer les clients à propos de leurs difficultés, et les pousse à découvrir comment les clients ont réussi à survivre, même dans les moments les plus difficiles. 5. Tous les environnements, même les plus sombres, contiennent des ressources.
Présupposés de l'orientation solutions Bill
O'Hanlon est un élève d'Erickson ayant
axé son
approche sur l'orientation solutions. Voici quelques
présupposés énoncés dans
son ouvrage L'orientation
vers les solutions (Satas) accompagnés de
commentaires
w « Les clients
ont des ressources et des points forts
pour résoudre les problèmes
Souvent
les
clients, submergés par les
difficultés de leur
vie, perdent de vue leurs capacités à
résoudre les problèmes. Ils peuvent
simplement avoir besoin qu'on leur remette en mémoire des
outils qu'ils
possèdent déjà pour
développer des solutions durables et
satisfaisantes… dans
d’autres cas, on peut les aider à
accroître ou à aiguiser certaines de leurs
capacités afin de mettre de l’ordre dans leur
situation».
Erickson disait
souvent : « il
s’agit simplement
de faire quelque chose que vous savez déjà
faire ». La thérapie
mobilise
et/ou développe des ressources propres au sujet,
déjà présentes. Pour paraphraser
le titre d’un livre de L. Duncan, le client est le
héros de la thérapie.
w "Le changement est permanent
Si
vous supposez
que le changement est permanent, vous vous
comporterez comme si le changement était
inévitable. De manière verbale ou
non-verbale, vous communiquerez aux clients l'impression qu'il serait
étonnant
que leur problème puisse persister…Pour nous,
l'univers est un monde de
changement. Les situations des gens changent en permanence, et c'est le
regard
qu'ils portent sur les situations qui reste le même quand ils
signalent que
rien n'a changé."
Ceci est une
profession de foi que le
thérapeute doit avoir
assimilée pour qu’elle vienne imprégner
l’intervention thérapeutique. Cet
aspect oriente entre autre l’attention du
thérapeute et du client vers ce qui
change. Tout change. Ceci induit que le changement est
inévitable et qu’un
problème qui persiste n’est plus alors
qu’une question de point de vue.
w "Le
rôle du
thérapeute est de repérer et d'amplifier le
changement"
"En
tant que
thérapeutes, il est clair que nous avons
un devoir. D'abord, celui d'être clair avec
nous-mêmes; et ensuite de
rechercher chez les autres tout signe de clarté et de leur
en donner acte, et
de les renforcer dans tout ce qui est équilibré
chez eux." (G. Bateson
1972)
La
thérapie crée une
réalité particulière ou ce qui est
efficace est amplifié, ce qui ne l’est pas est
laissé de côté comme des
solutions inappropriées. Les clients sont
installés dans un « encore plus
de solutions inefficaces qui accentuent le
problème », l’intervention doit
les placer dans un « encore plus de solutions
efficaces qui produisent des
solutions »
Erickson
disait : « il
ne faut pas
une très
grande brèche pour que toute la structure de la digue en
vienne à changer »
w "En
général, il n’est pas indispensable
d’en savoir
beaucoup sur le problème pour le résoudre."
Trop
d’information peut « tuer
l’information » :
«nous avons remarqué que les
thérapeutes restent souvent bloqués parce
qu’ils
ont trop d’informations (et non trop peu), ou trop
d’informations sur le
problème et pas assez sur la solution. »
L’approche
est orientée vers l’expertise du client dans la
résolution de son problème. Si on donne
de
l’importance au problème… il prend de
l’importance. L’enquête doit
être approfondie
sur les solutions à mettre en place, disséquer la
genèse de la difficulté n’est
pas forcément nécessaire.
w "Il
n’est pas nécessaire de connaître la
cause ou la
fonction d’un problème pour le résoudre.
Le
« pourquoi ça va mal »
sert peu à la mise en
place de « comment faire pour aller
bien ». Influence psychanalytique
oblige, la culture de la personne et du thérapeute les
orientent vers de tels
présupposés (trouver la cause) alors
qu’on peut tout à fait résoudre un
problème sans en identifier la cause. Ce postulat de
l’importance de la
recherche de la cause est essentiellement sociétal mais
n’a que peu de valeur
en terme d’efficacité thérapeutique.
w "Un petit
changement est la seule chose qui soit
nécessaire : un changement dans une partie du
système peut entraîner des
changements dans une autre partie du système.
Les
personnes sont souvent prises dans un cercle vicieux :
un élément en a entraîné un
autre, jusqu’à constitution d’un
système entier qui
dysfonctionne. La résolution du problème peut
tout à fait suivre la même
structure à travers un cercle vertueux : un
changement en entraîne d’autres,
fait « boule de neige ».
w "Les clients
définissent les objectifs
Ercikson
disait : «Chaque
personne est un individu
unique. La psychothérapie doit donc s’adapter pour
aller à la rencontre de la
spécificité de l’individu, et non
façonner la personne pour qu’elle
s’adapte au
lit procustien d’une théorie
hypothétique du comportement humain. »
Il
n’y a tout d’abord pas une manière juste
ou valable de
vivre sa vie. Ce qu est adapté pour une personne ne le sera
pas pour une autre.
Seul le client connaît son domaine de définition.
De plus, en lui permettant de
fixer ses objectifs, on renforce sa position d’expert.
w "Il est
possible d’obtenir des changements rapides ou de
résoudre rapidement des problèmes."
Les
attentes et croyances du thérapeute conditionnent le
résultat de la démarche. La thérapie,
influence psychanalytique oblige,
présente la réputation d’être
longue, tortueuse, difficile… Mais il peut tout à
fait en être autrement si le thérapeute et le
client co-créent une réalité
thérapeutique différente. Il n’y a que
peu de rapport entre importance ou
intensité d’un problème et vitesse de
résolution.
w "Il
n’y a pas une façon
« juste » de voir les
choses ; différents points de vue peuvent
être aussi valables et s’adapter
aussi bien au fait."
Toute
représentation
est valable, ce qui compte est son utilité en fonction de la
résolution du
problème : l’opinion des gens
vis-à-vis de leur problème augmente ou
diminue les chances de voir émerger des solutions. Les
points de vue qui
proposent des solutions sont utiles, les point de vue qui renforcent le
problème ou le bloque sont inutiles. Le recadrage de points
de vue inutiles est
donc un outil puissant de changement.
w "L’intérêt
est porté sur ce qui est réalisable et qui peut
être changé, plutôt que sur ce qui est
inaccessible et qui ne peut pas être
changé."
Les
objectifs doivent être bien définis et
réalisables dans
un délai raisonnable. On s’intéresse
à ce qui peut être modifié, aux
éléments
les plus accessibles au changement. On préfère se
centrer sur la réalisation d’objectifs
modestes, qui auront des répercussions dans les autres
domaines de vie. Les grandes
conjectures psychologiques ont pour effet, en analysant et
étiquetant un
problème humain de le cristalliser, de l’augmenter
et de le rendre chronique.
Article incomplet,
en cours de
rédaction
Eléments de T.O.S. D’inspiration ericksonienne, la thérapie orientée solutions (« T.O.S. ») va répondre à une démarche précise et une orientation intéressante. Il s’agit d’une philosophie particulière et novatrice de l’accompagnement, pétrie de bonnes idées donc chaque coach ou thérapeute pourra extraire l’essence utile. La colonne vertébrale d’une T.O.S. est présentée ici : 1. Contact : « En quoi puis-je vous être utile ? » Comme dans toute démarche de changement, la première étape consiste tout d’abord en l’exposition d’une problématique. La première question, traditionnelle en T.O.S. a toujours sensiblement la même forme : « En quoi puis-je vous être utile ? ». La réponse du sujet va correspondre à un exposé du(des) problème(s). En T.O.S., on écoute avec respect cette plainte, on approfondit si nécessaire pour plus de précision : « En quoi est-ce un problème pour vous ? » Mais déjà, l’idée de transformer la problématique en objectif centré solution est présente.
w Question miracle Voici textuellement la question miracle de De Shazer : « Maintenant je voudrai vous poser une question bizarre. Imaginez que pendant que vous dormez la nuit prochaine et que toute la maison est calme, un miracle se produit. Le miracle consiste en ce que le problème qui vous a amené ici est résolu. Cependant, comme vous êtes endomi, vous ne savez pas que le miracle est arrivé. Alors, quand vous vous réveillez demain matin, qu’est-ce qui sera différent qui vous dira qu’un miracle a eu lieu et que le problème qui vous a amené ici est résolu ? »w Intérêt de la question miracle : -
On entre
en matière, dans la résolution du
problème. Le sujet
donne les ingrédients, décrit le processus du
changement.
- La question ouvre le champ des possibilités. Et l’imagination est le germe du futur. «
En
quoi est-ce important pour vous ? »
Peu
importe
que l’objectif soit important pour le thérapeute,
il doit l’être
par contre pour le client. Cette importance animera la
volonté de
changer, d’évoluer et de mettre en place de
nouvelles solutions.«
En
quoi les choses seront-elles différentes autour de vous ?
»
Un
individu
se définit entre autres par ses relations.
L’aspect systémique
est également fondateur du changement ou de
l’évolution.
Les potentialités, désirs, forces… de
l’individu dépendent
des pensées à son sujet qu’il peut
prêter aux gens
qui comptent pour lui. "Dans
quelle situation spécifique ce serait différent
?"
Le
client
peut avoir du mal à envisager un changement complet, mais
plutôt
une amélioration dans certaines situations plus
précises. «
Qu’est-ce
qui se passera de positif ? »
Le
thérapeute
doit amener le client a faire une description positive et si possible,
au présent : il s’agit non pas de
décrire l’absence d’un
problème mais d’observer et
d’expérimenter même la
présence de solutions.
«
Quel
sera le premier signe que quelque chose à changé
? »
Le
client
recherche souvent un résultat final, voire absolu. Il a
besoin de
prendre conscience des différentes étapes de son
évolution.
Le questionnement sur la première étape permet de
créer
une attente concrète, réaliste et
d’installer le sujet dans
le processus de changement.«
En
quoi cela changera pour vous ? »
Cette
question
permet de centrer le sujet sur lui-même, de
l’installer dans la dynamique
du changement. «
Concrètement,
qu’est-ce qui changera ? »
Les
termes
du changement décrit doivent correspondre à un
objectif correctement
défini : concret, réaliste et mesurable.«
En
quoi est-ce un défi pour vous ? »
L’idée
de tâche à accomplir, de défi est
importante à
générer. Ces aspects développent la
motivation et
l’investissement personnel du sujet. On peut même
monter lors de
l’entretien au sommet des niveaux logiques (appartenance,
mission, ….),
aligner toute la personne sur l’objectif (les niveaux
logiques sont présentés
dans les pages traitant de la PNL).3. Explorer les exceptions : les moments où ça se passe bien. Lorsqu’un sujet fait une démarche de thérapie ou de coaching, il est « orienté problème ». Il peut d’ailleurs évoquer longuement ses difficultés, dans les moindres détails : en T.O.S., plus on parle d’un problème, plus le problème grossit. Mais à l’inverse plus on parle de solutions, plus les solutions prennent leur place dans la réalité du sujet. On peut bien entendu à titre d’information recevoir les manifestations négatives de la problématique, mais l’outil essentiel sera constitué par les moments où le problème ne se produit pas : les exceptions. D’après De Shazer, les exceptions sont « ces expériences passées de la vie du client où le problème n’est pas apparu alors qu’on aurait pu s’attendre raisonnablement à ce qu’il surgisse ». il est noter que l’exploration des exceptions peut se faire de manière associée (perceptions du sujet), mais aussi dissociée (perceptions que pourrait avoir un observateur extérieur). w Prendre conscience des exceptions Pour mettre en valeur et développer les exceptions, il est d’abord nécessaire que le client prenne conscience de ces moments d’exceptions. Le questionnement vise à générer cette prise de conscience. - En associé : « Est-ce qu’il y a eu des moments où le problème ne s’est pas produit ou était d’une moindre intensité ? » - En dissocié : « Si je demandais à votre femme s’il y a eu de meilleurs jours, que répondrait-elle ? » w Exceptions délibérées ou aléatoires Les termes de « délibérées » et « aléatoires » sont issus de la théorisation de De Shazer. - Exception délibérée : le sujet peut donner la genèse de l’exception. On pourra enchaîner sur une modélisation ou une prescription de tâche (« Faire plus de la même chose »). - Exception aléatoire : le sujet ne peut donner la genèse de l’exception. Il pourra alors lui être demandé d’observer les prochaines exceptions et de noter ce qui se passe. w Demander des précisions Il s’agit de relever les critères de différence des moments d’exception : « Qu’est-ce qui diffère quand ça ne se produit pas ? » les différences peuvent se faire à différents niveaux : lieu, objets, personnes, temporalité,… A tout moment de cette démarche, il est important de s’inscrire dans la carte du sujet dont les éléments sont éxposés dans ls pages de ce site traitant de PNL et d’hypnose ericksonienne : canal dominant, métaprogramme, valeurs, croyances… Plus la synchronisation entre thérapeute et client sera développée, plus la relation sera pertinente et les solutions individualisées et efficaces. 4. Feed back et tâches De Shazer prône une structure tri-partite : compliment, pont et tâches. - Compliments : le compliment renforce et motive le client. Il valide ce qu’il perçoit et ce qui est important pour lui. Là aussi, avec le compliment, il y a orientation solution. Ils dynamisent et installent l’individu dans son processus de changement : à travers ses points forts et les exceptions, il possède les moyens de son évolution. En cela, on retrouve le précepte ericksonien ou PNListe qui établit que chaque homme a en lui les ressources de son évolution. - Pont : le pont se trouve entre compliment (constat) et tâches (passage à l’action). Le pont effectuera donc une transition entre forces, potentialités et action à travers une évocation de l’objectif. - Tâches : en T.O.S., des tâches sont prescrites. Ce sont exclusivement des tâches d’observation et des tâches de comportement. Il s’agira donc de recueillir des informations concernant les moments d’exceptions ou de développer les facteurs créant ces exceptions. Bibliographie et liens Bibliographie idéale sur : Orientation solutions
Guide du thérapeute au pays du possible / W.H. O’Hanlon & S. Beadle / Satas Un livre orienté solutions sur la communication. De nombreuses techniques, simples et pratiques sont proposées par Bil O'hanlon. Les mots étaient à l'origine magiques / Steve de Shazer / Satas Dans
le droit fil de ses précédents ouvrages, Steve de
Shazer souligne ici l'importance d'une étude attentive de la
conversation thérapeutique.
Orientation
vers les solutions / W.H. O’Hanlon / Satas
Un ouvrage fondateur de la thérapie orientée vers les solutions. Dans ce livre, deux cliniciens réputés pour la clarté et l'humour de leurs séminaires, retracent l'évolution de cette approche, mettent en relief les hypothèses qui favorisent les changements, et proposent ensuite des lignes directrices claires, concrètes et détaillées pour transformer la théorie en pratique. Pour professionnel, indispensable. De l'entretien à la solution : l'accent sur le pouvoir des clients / De Jong & Berg / Satas Ce livre passionnant est consacré aux techniques d'entretien basées sur la thérapie centrée sur la solution, une approche particulièrement adaptée aux impératifs actuels de la pratique dans les professions d'aide. Thérapie conjugale brève / O'Hanlon / Satas En rupture radicale avec les techniques traditionnelles de la thérapie conjugale, les auteurs utilisent la puissance de la confirmation personnelle et des stratégies orientées vers les solutions pour sortir des impasses de la vie de couple. Ils aident les couples à trouver des problèmes qui peuvent être résolus, à agir en collaboration et à changer les comportements destructeurs.
Hypnose ericksonienne
Un séminaire avec Milton H. Erickson / J. Zeig / Satas Enfin accessible au lecteur francophone, ce "Séminaire avec Milton H. Erickson" nous offre l'occasion de nous asseoir parmi ses étudiants. Après qu'il eût cessé sa pratique clinique avec des patients, Erickson a poursuivi ses activités d'enseignant, réunissant autour de lui des cliniciens du monde entier venus s'initier aux conceptions de ce "thérapeute hors du commun". Espoir et résilience / D.Short / satas Cet ouvrage constitue un exposé brillant des différentes stratégies ericksoniennes. Très riche d'enseignement et unique en son genre. Un ouvrage de référence pour le professionnel. Hypnose et hypnothérapie chez l'enfant / Olness - Kohen / Satas Un important ouvrage pour de nombreuses applications cliniques de l'hypnose chez l'enfant. Métaphores et suggestions hypnotiques / C. Hammond / Satas Une anthologie de métaphores et suggestions hypnotiques : hypnose classique et ericksonienne. Pour professionnel, à posséder dans sa bibliohèque. Formations - INCTB : Formation praticien en thérapies brèves : se former à l'univers et aux techniques de la thérapie brève par un spécialiste, à l'INCTB. Cliquez ici pour en savoir plus Pages spécifiques : Formation hypnose et PNL - Formation thérapies brèves - Formation thérapie brève des troubles anxieux - Formation coaching performance Sites : - Hypno-solutions.net Site du réseau consacré à l'hypnose et aux thérapies brèves. Visiter - INCTB Formation en hypnose, PNL et thérapies brèves. Visiter - Psycho-D Editions Librairie sélective en ligne. Visiter - Forum de l'hypnose, des thérapies brèves et de leur domaines d'application Forumtherapiesbreves.com Visiter Haut de page Gérer le stress -prendre la prole en public - Déterminer et atteindre ses objectifs - Déveloper son charisme ARTICLE
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